La journaliste Stéphanie Grammond de La Presse s’est penchée sur les dons de bienfaisance à la demande de lecteurs qui désiraient savoir à quoi sert leur don versus les coûts d’opération d’une Fondation (lire ici dans la PRESSE)
Dans la deuxième partie de l’article, fait très intéressant qui concerne le don de certaines de vos actions par exemple à notre Fondation et qui pour la valeur totale accumulée (valeur du marché) peut s’échanger contre un crédit d’impôt alors que si vous encaissez, vous devrez évidemment payer l’impôt sur votre gain de capital qui peut être assez imposant. Nous vous invitons à lire la suite de cet article:
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Effectivement, le don d’actions est une excellente manière de maximiser un don de bienfaisance : comme le gain en capital n’est pas imposable, cela vous permet de donner encore plus.
La stratégie est particulièrement avantageuse si vous avez des titres qui ont pris beaucoup de valeur au fil des ans. Disons que vous avez payé 2000 $ pour des actions qui valent 5000 $ aujourd’hui. Si vous les vendez, l’impôt sur votre gain en capital de 3000 $ atteindra jusqu’à 800 $ si vous êtes imposé au taux marginal le plus élevé. Il ne vous restera donc plus que 4200 $ à donner à l’organisme de bienfaisance.
À la place, si vous transférez directement votre bloc d’actions à l’organisme de bienfaisance, celui-ci recevra 5000 $. Et votre crédit d’impôt sera calculé sur 5000 $. Bref, c’est vraiment gagnant-gagnant.
Bien sûr, l’opération exige un petit peu plus de logistique. Mais ce n’est pas sorcier. La plupart des organismes de bienfaisance accepteront avec plaisir ce genre de dons, d’autant qu’il s’agit généralement de montants significatifs. Il suffit de remplir un formulaire que vous remettra l’organisme de bienfaisance. Ensuite, votre courtier pourra procéder au transfert des actions dans le compte de la fondation désignée.
…… La presse, Stéphanie Grammond